MESRINE alias Vincent Cassel… mmmmiam !
« L’instinct de mort », première partie du parcours de Mesrine au cinéma, interprété par Vincent Cassel, me laisse dans un état d’avidité terrible. J’ai hâte de voir la suite !
Vincent Cassel et tous les seconds rôles jouent magnifiquement (mention spécial à Cécile de France, méconnaissable), on ne s’ennuie pas une seconde entre le Paris des années 60 et le Canada des années 70.
Je craignais un peu l’ »héroisation » post guerre d’Algérie de Mesrine mais pas du tout : Jean-François Richet nous dépeint un homme violent, froid, fait pour survivre telle la tique. On ne s’appesantit pas sur de possibles excuses à sa cruauté tout en conservant pourtant la part d’humanité du personnage. Partagé entre le dégout et l’admiration, on s’attache pourtant à ce Jacques Mesrine, et on rêve de s’enfuir avec lui vers le Canada ou ailleurs dans une décapotable…
Vincent Cassel, sublimement sexy, viril, a pris des kilos pour ce personnage…et ça lui va bien ! Vivement la suite « L’ennemie public n°1″, le 19 novembre !
Un film à voir avec son amoureux pour pouvoir rejouer plus tard Bonnie and Clyde, mode « Cécile de France et Vincent Cassel »